Ça y est! On a goûté le lamen en soupe des @deliceslepic avec mon Sly @trouvailles_et_terroirs. Une bombe 💣 comme le sauté. La qualité des nouilles faites à la minute. Le bouillon de maboul. Une tuerie à 9 balles, quoi. Le chef Éric me fait goûter ces nems qui te font re-découvrir les nems. Tellement différents de ceux qu’on a mangés. Et les ravioli à la farce qui n’est pas un gag comme d’habitude.
Clairement mon King de la 2ème . En bombance, en bonheur, en quantité et en fréquence. Mon sauveur, quoi. Un grand merci Masa d’être là et de nous régaler de cette cuisine vraie, précise et authentique. C’est si rare. Masa ne s’est pas réinventé. Sa cuisine s’emporte naturellement. Les pâtés de gibier, les pressés de poule faisane bien facilement. La tortilla comme à Donotia aussi. La carbonnade et le croustillant de suprême de volaille également. Folie que cette volaille sapée d’une croûte aillée où se cache du Serrano et du Comté. Bombance .
Allez-y Et bientôt, rappelons-nous combien il était essentiel durant cette période.
La formule déjeuner qui tue tout le monde Économique et gourmande Yannick et @mangozor en salle envoient les plats de mabouls de @jorlaccia et sa compagne C’est excessivement bon et original comme ces petits cœurs de canard et betterave et cette sauce justement vinaigrée ou cette bagna cauda aux anchois et olives délicieusement aillée Ça fait Zbaam à tous les coups ici La carte des vins est affolante Un joli chenin, suivi d’un fabuleux Bourgogne. Très bons conseils En plat, les sardines à la plancha, crème de poivrons, datterini emballent tout le monde. Le rotide dinde sauce tonnée et ses pdt en salade finissent de convaincre la tablée On finit sur un bel abricot et un digeo au comptoir C’est de ces endroits dont Paris a besoin nom de dieu de bordel de merde
La question elle est vite répondue Cet œuf mayo des @lesarlots fera référence dans les livres d’histoire Vice champion du monde 2019 de l’@asom_oeufmayo Une mayo des plus aériennes, des œufs cuits a point et ce chorizo croustillant lui donnant la chaleur d’un accent du Sud. Les falafels qui font l’affaire. Légers et pas gras. Verts dedans comme une fureur végétale. Le pressé de lapin tout en finesse et fraîcheur bucolique. Il me rappelle le potjevleesch de ma Flandre
Pump the jam, Pompette up! Et hop, suis allé m’assoir chez @jessthewinearoo et @mathieugrichois. Au départ, pour un verre et puis la déco simple et élégante, le Cerrone en fond, les tabourets bois à l’assise baquet, les échanges avec les tauliers, les bonnes quilles et les plats attirants du chef @jordycooks (ex @frenchie_ftg) ont prolongé le stop. J’ai connu Jess chez @restaurantkorus, c’est une sommelière d’excellent conseil en mode nature. J’opte pour un Coteaux de Giennois 2014 d’Hervé Villemade, Cheverny. Tous les verres sont à 7€. Les olives grecques marinées (4€) en attendant ce qui m’a instantanément fait craquer : les cœurs de canard binchotan, cacahuètes, café (8€). Carrément magique. Ça me rappelle le Brésil et les cœurs de poulet « coraçãozinhos » en mieux. Plus tendres, plus goûteux. Moitié bleu, moitié grillé. Le chef les passe au grill et finition au chalumeau. Bomba 💣 Le poulet qui suit est tout aussi parfait niveau cuisson (13€). Tendre, juteux et peau croquante par dessus. Jus puissant et panais câlin. Bim . Ciao sucré avec cette envoûtante ganache . Consistante, entourée d’un trait d’huile d’olive, parée de fleur de sel et de piment (7€). Voyage assuré On souhaite à @pompette_paris d’atteindre l’ivresse de la réussite. Je suis serein. Bravo
Ce bonheur extrême qui t’envahit quand tu sais que tu as trouvé une nouvelle cantine.
Ouvert depuis 2 jours et déjà si précis.
On s’attable ici sur les conseils d’Alexandros @profil_grec avec Sylvain de @trouvailles_et_terroirs et Carlos @carlos_wagyu_espagne.
Très belle et bien castée carte des vins.
On entame un Grololo du domaine Pithon-Paillé. Extrême buvabilité.
Va s’en suivre une série de plats tous attrayants, intéressants et bien faits.
Rien de moyen.
Du chou-fleur rôti aux deux houmous.
Une Saint Jacques aux champignons et légumes.
Des böreks au fromage de mabouls.
Des sardines panées. Extase marine.
Patate douce, harissa et crème fraîche.
Spaghetti, tomates cerises et mozzarella.
Agneau confit, cocos de Paimpol. Rêve éveillé
Pour le sucré, baklavas aux noix et poire pochée.
Tout passionnant et sans aucune fausse note.
Je dis chapeau bas
Un Susucaru pour fêter ça.
Ce petit navire a tout d’un grand vaisseau.
On lui souhaite bon vent et on imagine le niveau quand il aura atteint le rythme de croisière.
Petit navire, je signe pour faire partie de l’équipage
Formule déjeuner 18€ et 22€
Au sommet des listes et classements, étoilé par Bibendum, ce restaurant reste à l’abri du trendy ou de la prise de melon. Un des meilleurs rapport/qualité prix de Paname : 28€ le menu déjeuner 4 plats et 58€ le menu dégustation le soir. Toujours une vingtaine de couverts et une cuisine ouverte où officie le chef. Des assiettes ni nipponnes, ni asie-mutées (déjà trop vues et entendues) mais plutôt une lecture personnelle, des réalisations rigoureuses et des accords magiques. Katsuaki Okiyama, passé au Taillevent et chez Robuchon, brille depuis 2012 dans ce lieu resté simple. Serviettes en papier, on garde les couverts, on se détend. Magnifique ouverture visuelle, olfactive et gustative avec ce carpaccio de tomates, betteraves, amandes, huile et citron, vanille et fleur de coriandre. Féerie pour palais. C’est coloré, frais et les saveurs se mêlent dans une choré bien huilée. Seconde entrée, aubergine fumée, girolles, noisette et émulsion de cèpes. Véritable bouchée automnale. Vient le plat, ce superbe sanglier coiffé de tranches de truffes comme des champignons sur un tronc et une purée de butternut. On s’enfonce encore plus dans les bois, la bête est là, la force animale. Sauce brune parfaite. Plus loin, la mer et ce cabillaud aux choux pointus, navet et carottes. Rigoureusement cuit. On s’approche du câlin pré-départ, avec cette glace au yaourt coco, espuma pistache et au fond comme une surprise mangue et maracuja. Le chef reste discret, il s’exprime dans ses plats qui ont une poésie esthétique, une exécution millimétrée et du voyage plein la fourchette. Gardez ce lieu à l’abri des remous des tendances et des prix. Le samedi, c’est sandwich porc pané, omelette, fromage et chou compoté. Ici, c’est Abri!
Alma AbsoludiaJ’ai connu Lydia @absoludia chez @chezminna autre restaurant corse de Saveriu Cacciari avec @lalivirestaurant. J’aime cette cheffe aux influences méditerranéennes, vive et forte. Sa cuisine est simple, bien faite et gourmande. Pour le partage. J’arrive donc serein à cette nouvelle adresse sise dans le quartier animé de Montorgueil où il n’est pas simple de ne pas être pris pour un jambon (pas corse) ou un touriste. Ou les deux. Façade jaune soleil, store bleu mer et liserai rouge 1🍷. Petite terrasse sympathique. L’accueil est dynamique et chaleureux. On sent le team content d’avoir ouvert il y a un mois. Mon coach @flaviapilatesparis et moi optons pour une belle formule à 19€ pour 3 assiettes et un café (ou 14€ pour 2 assiettes et un café). On démarre à couteaux tirés avec panzetta et sauce vermentinu (cépage des vins blancs corses). Pâmoison direct! Et je suis pas un 3ème couteau. Bravissimo Polpette de Mammo complètement réminiscentes. On est en famille, là tout de suite. Sauce tomate validée. Bruschetta sans se brusquer, tranquille. Bonne coppa aux saveurs corses. Figues fraîches et brocciu au goût de brocciu. On commence à parler de la Corse, obligé. Beignets de courgette magiques, légers sur une sauce yaourt rafraîchissante, pimpés par la nepita et le miel. Cette fleur aromatique du maquis à l’odeur mentholée et poivrée. Beau geste. Les croquettes de tomme, Prisuttu (pas pinzutu) jambon corse, belle mayo épicée. Les Korsican Fried Chicken, KFC 🍗 vous aurez pigé. Cuisses de poulet gourmandes et bien fat. La panure un peu épaisse peut-être. La BBQ sauce, comme les autres sauces, défonce. Un Clos Venturi 🍷 pour faire glisser, hop. On est heureux et repus. Pour un prix modique avec un service des plus cool. Perle 💎 pour ce quartier. Bravo ma @absoludia! On revient vite le soir pour la terrine au figatelli, les calamars en persillade, les gnocchis poëlés avec crème de tomme à la truffe, l’oeuf mollet bio pané et mayonnaise… et les chants corses 🎶 parce que ça chante on m’a dit.
Comme un vieux track de funk.
Indémodable et qui fait toujours bien le job.
Le Bougain, bordel! Qu’est-ce qu’on est bien.
Tellement, qu’on y a marié mon pote!
Toujours un plaisir, une intro comme un riff de Nile Rodgers avec l’oeuf 🥚 mayo et les harengs pomme 🥔 à l’huile. Extase totale.
Enchaînement sans couac avec cette joue de cochon, mes 🐷. Un gratin dauphinois comme si une « vraie » grand-mère (pas la fake des autres là) était au passe. Royal.
Petit break marin 🌊 sur le filet de colin 🐟 et son gratin de courgettes 🥒 bio.
Et j’entends : 🎶
Down boogie on down
Down boogie on down yeah
Le Bougainville, mon île de la galerie Vivienne où j’ai la Terre, le Vent et le Feu
Formule déjeuner à 19€
Côteaux du Vendômois (Chenin) Norguet 2018 à 3,80€ le verre
📌 Mieux vaut y aller!Toujours de mieux en mieux. Les mecs confirment. Hier, c’était trop bon et bien gourmand du genre généreux. Craquage sur cette côte de veau de 500g, mon petit père (42€). Avec ce truc de malade qui nous a envoûté, je veux parler de la polenta grand roux et 🍄 girolles. Addiction générale Bon, avant ça on s’est pris la terrine maison of course de 🐷 cochon, carottes 🥕 et oignons marinés (8€). Goûtue à souhait. Tomates 🍅 de chez Valdemar, excellente burrata fumée, pistou, cerfeuil et basilic (9€). Ceviche de thon blanc 🐟 de Saint-Jean-de-Luz, tomates cerises, concombre 🥒 et estragon (15€). L’onglet de bœuf, jus de viande, purée de céleri, échalotes, épinards et arroche se défend bien face à la côte de veau (24€). Le risotto acquerello, beurre de sauge, courgettes et ricotta fumée (19€) se partage bien aussi. Sablé breton, ganache, mousse et crémeux au chocolat et caramel au beurre salé pour finir nickel. On s’est bu que du Breton : Aussi Sec domaine Breton en biodynamie. Et leur fameux Nuits d’Ivresse joli Bourgueil en biodynamie aussi des mêmes Catherine et Pierre. Nos camarades @annieyongz et @malvaez_mario_ ont adoré comme nous la cuisine précise et généreuse, le service et lieu aéré et convivial de ce Mieux qui va peser dans le game, c’est certainMieux 21 rue Saint Lazare Paris IX